Récemment, des études épidémiologiques très médiatisées déclarent avoir observé des liens statistiques forts entre risque de cancer et consommation d’aliments bio ou ultra-transformés. Cependant, quand les études sont comparées entre elles, l’auteur de cette note constate notamment qu’elles se contredisent mutuellement, alors qu’elles ont été réalisées sur la même population.
Les résultats de ces études reposent sur des traitements statistiques complexes dont la fiabilité et l’interprétation sont remises en cause par des épidémiologistes éminents.