A l’aide d’un modèle mathématique poussé, des chercheuses de l’INRAE ont découvert une piste prometteuse pour concilier nutrition et protection de l’environnement.
Plusieurs options ont été testées comme réduire le nombre de composantes des repas ou augmenter le nombre de repas végétarien.
Selon les résultats de l’étude, le meilleur compromis pour réduire de moitié les gaz à effet de serre des repas scolaires, tout en maintenant une bonne qualité nutritionnelle, serait de proposer 12 repas végétarien sur 20 et de servir des viandes blanches et du poisson aux autres repas.